Protection UNIT lance sa campagne « #womeninguarding »
Des idées telles que la sécurité privée est un monde d’hommes ou encore, que pour y travailler, il est nécessaire d’être fort et robuste, parviennent à malgré tout résister au fil du temps. Cette représentation relativement machiste du métier est encore tenace.
Pourtant, il est de plus en plus fréquent de croiser des agents de sécurité issus de la gent féminine. Chez Protection UNIT, nous considérons que le secteur du gardiennage a très longtemps été exclusivement occupé par les hommes et que la féminisation de la profession est une avancée positive et nécessaire.
Évolution du métier
Historiquement, les femmes ont d’abord été employées dans la sûreté aéroportuaire et dans l’événementiel, notamment pour des missions de palpation (la loi obligeant à effectuer ce geste sur des femmes par des personnes de même sexe). Aujourd’hui, on les retrouve dans les métiers de la sécurité y compris dans l’encadrement : aux postes de contrôle d’accès, cheffe d’équipe, contrôleuse qualité ou encore responsable d’exploitation.
Quel que soit leur poste, les femmes répondent parfaitement aux compétences requises pour exercer les métiers de la sécurité privée. Les qualités recherchées par les recruteurs sont les mêmes que pour les hommes : rigueur, éthique, honnêteté, sens du contact humain. Sur le terrain, les femmes mettent régulièrement en avant leurs aptitudes relationnelles et l’efficacité de leur management. Elles sont en général très organisées et vont à l’essentiel. Elles veillent par ailleurs à prendre des décisions justes et consacrent du temps à la communication. Elles font preuve d’une empathie naturelle qui leur permet de désamorcer plus rapidement que les hommes des situations conflictuelles.
Le temps de l’agent musclé, voire même un peu antipathique, est révolu ! C’est le cas chez Protection UNIT qui place le sens du service, la courtoisie et l’hospitalité au cœur de sa vision du métier.
Voilà pourquoi Protection UNIT lance ce 8 mars sa campagne #WOMENINGUARDING sur les réseaux sociaux. Avec l’objectif de casser les clichés mais aussi d’inciter les femmes à postuler.