25 mars 2025
Ce 14 mars, Protection UNIT a reçu les premiers véhicules hybrides Toyota issus de son partenariat avec le garage Vanderheyden. Nous voulons ainsi poursuivre le remplacement progressif de toute notre flotte pour réduire drastiquement notre empreinte carbone.
Les principes ESG, qui sont une priorité pour Protection UNIT, reposent sur les 17 objectifs de développement durable établis par les Nations unies (ONU). Y figure, entre autres, la nécessité pour les entreprises de prendre des initiatives pour assumer plus de responsabilités en matière d’environnement, et d’encourager le développement et la diffusion de technologies respectueuses de l’environnement.
Jusqu’à présent, la soixantaine de véhicules hybrides dont nous disposons sont principalement destinés au back office, les 170 autres de notre flotte, réservés à l’opérationnel, roulant au moteur thermique.
Une réflexion a été menée pour procéder au remplacement progressif de cette flotte Diesel afin de ne plus circuler qu’en hybride, et notre choix s’est porté sur les véhicules Toyota, une marque qui dispose d’une grande expertise en la matière et propose un large panel de modèles hybrides non rechargeables, s’auto alimentant lors de la conduite. Ainsi, une batterie et un ou plusieurs moteur(s) électrique(s) augmentent les performances tout en fonctionnant comme un générateur pour transformer l’énergie excédentaire en charge électrique. Par exemple, l’énergie émise à l’occasion d’une manœuvre de freinage, lorsqu’on décélère, est récupérée et permet de recharger la batterie. Le véhicule passe automatiquement d’un moteur à l’autre, sans que le conducteur ne sente la différence.
« Ces véhicules présentent un triple avantage », explique David Loix, notre Operational & Technical Support Manager. « D’abord, elles permettent de rouler en électrique plus de 50% du temps, et donc de réduire fortement notre consommation de carburant et nos émissions de CO2, ce qui était notre objectif principal. Ensuite, elles sont beaucoup mieux adaptées à notre type de conduite, car les véhicules à moteur thermique utilisés jusqu’alors présentaient souvent des problèmes techniques, notamment au niveau du filtre à particules, liés au fait que nos agents en patrouille doivent la plupart du temps rouler très lentement. Enfin, elles s’auto-rechargent et nous n’avons pas besoin de bornes : trop souvent, à l’usage, les conducteurs de véhicules hybrides oublient de recharger et finissent par ne plus rouler qu’à l’essence, ce qui est pire que bien puisque le véhicule est plus lourd qu’un traditionnel. »